Bertrand Chameroy victime à son tour d'un canular

Souvenez-vous : mardi, Enora Malagré était victime d'un canular de très mauvais goût. Le soir même, elle réagissait dans "Touche pas à mon poste!" en attaquant le journaliste de France Info ayant repris l'information. Deux jours plus tard, ce jeudi, c'est au tour de Bertrand Chameroy, autre chroniqueur de D8, d'être la cible du swatting.

Ce matin, la police parisienne reçoit un appel d'un homme affirmant que Bertrand Chameroy venait de tuer sa compagne. Selon cet appel, il était armé, et retranché" chez lui. Les forces de l'ordre se précipitent alors dans le 3ème arrondissement, là où habite le chroniqueur, et où il serait donc retranché. La police reçoit plus tard un deuxième appel donnant une précision : si la police intervient, "tout" allait "sauter". Sur son compte Twitter, Bertrand Chameroy explique que "Tout va bien". Encore un canular, donc. Cette pratique se nomme plus précisément le swatting, et est passible de 2 ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende.

Tout va bien.

— Bertrand Chameroy (@bchameroy) 12 Mars 2015